Newsletter COVEXIT #14 – Version française
(click here for English) Avec une maladie mortelle comme le COVID-19 et les ravages qui ont caractérisé cette pandémie, en particulier dans les premiers mois, il est difficile de le croire, mais un médecin de Californie a pu obtenir un résultat parfait dans le traitement de ses patients atteints de COVID -19. Non, il ne s’agit pas d’un essai randomisé contrôlé par placebo, approuvé par les autorités sanitaires et publié dans une revue médicale internationale de premier plan. C’est le récit d’un médecin et de son équipe, qui ont agi comme il se doit dès le début, en se fondant sur les meilleures connaissances disponibles à l’époque. C’est un récit de l’action d’un médecin et de son équipe qui a permis de sauver des vies dans une communauté qui n’est pas aisée et avec des groupes ethniques tels que les probabilités attendues auraient été une mortalité particulièrement élevée. Avec les taux de mortalité prédominants, plus de 100 décès auraient été attendus parmi les 1700 patients traités par le Dr Tyson et son équipe. Combien sont morts de la maladie? Zéro. Combien ont été hospitalisés? Un seul, et très brièvement. Qu’est-ce que le Dr Tyson et son équipe ont fait pour réaliser un tel résultat? Nous sommes heureux de vous présenter une interview détaillée qui explique comment ils l’ont fait. Vous découvrirez une histoire mêlant humilité, volonté, résilience et anecdotes surprenantes, comme la mère du Dr Tyson produisant des EPI pour le Dr Tyson et son équipe, en utilisant des filtres HEPA. Vous apprendrez dans l’entretien que dès le premier jour, le Dr Tyson et son équipe avaient déjà déterminé le traitement à administrer aux patients. Ce qui est essentiel dans sa réussite, c’est d’avoir traité ses patients tôt. Ce facteur clé de succès pour le traitement du COVID-19 est toujours mal compris, ou simplement rejeté, par les autorités sanitaires de la plupart des pays, qui demandent aux personnes infectées par le virus de rester à la maison, de s’isoler et d’attendre le rétablissement sans aucun traitement – une approche qui fonctionne pour certains, mais certainement pas pour tous ceux infectés, qui sont ensuite transférés à l’hôpital, où les chances de guérison sont beaucoup plus faibles. Un traitement précoce, tel que recommandé par le Dr Zelenko, le professeur Raoult et d’autres, depuis mars, reste la clé pour vaincre avec succès cette pandémie. Le Dr Tyson l’a compris, et l’a mis en œuvre à grande échelle, avec des résultats remarquables. Certains se sont plaints que l’entretien d’une heure est trop long. Critique non-reçue: avec cette profondeur de contenu, du point de vue de l’intervieweur, chaque minute de cette entrevue compte. C’est en fait plus qu’une entrevue, c’est un guide pratique pour tout médecin désirant traiter avec succès les patients atteints de COVID-19, sur la base d’une véritable expérience pratique. Donc, vous l’avez compris, l’interview du Dr Tyson est un must, à voir et revoir, et à partager abondamment.
Parlant des directives de traitement précoce, nous avons déjà largement couvert, y compris dans notre entretien avec le professeur Thomas Borody, qu’il existe maintenant plusieurs options pour le traitement précoce du COVID-19. Non, ce n’est pas une question de fonctionnement ou de non-fonctionnement de l’hydroxychloroquine. Nous savons qu’elle fonctionne, mais seulement s’elle est combinés avec d’autres médicaments et administrée tôt. Le traitement précoce fonctionne également avec les deux autres options thérapeutiques, l’une avec l’ivermectine, l’autre avec le favipiravir, qui sont discutées dans une excellente présentation du Dr Peter McCullough, du Baylor University Medical Center au Texas, qui s’appuie sur sa publication dans l’American Journal of Medicine. La présentation rappelle l’importance d’un traitement ambulatoire précoce, l’importance du zinc et la manière dont des médicaments supplémentaires peuvent être prescrits aux patients ambulatoires, avant toute hospitalisation, au cas où les symptômes ne disparaissent pas rapidement.
C’était déjà clair au début de la pandémie, mais c’est encore plus clair maintenant: ce sont surtout les personnes âgées de 70 à 80 ans et au-delà qui sont les plus exposées à la pandémie. Si l’on veut réduire la mortalité, ce sont les personnes qui doivent être prises en charge en priorité. Mais si cela est largement reconnu, il y a très peu d’exemples où cela est suivi par des actions concrètes, efficaces et ciblées. De nombreux pays s’appuient sur des interventions non thérapeutiques, telles que l’isolement strict des personnes âgées dans les maisons de soins infirmiers, la réduction des visites, y compris par le personnel, etc. se révélant déjà inefficace, avec la résurgence de la pandémie dans de nombreuses maisons de soins infirmiers – et ce n’est peut-être que le début de résurgence, au Canada, aux États-Unis et ailleurs. Le principal élément manquant est le traitement thérapeutique précoce. Un autre élément manquant est la prophylaxie. Nous avons un article et une opinion qui se concentrent uniquement là-dessus. Oui, des protocoles de traitement précoce, comme celui recommandé par le professeur Borody, et qui est inclus dans la présentation du Dr McCullough, peuvent être utilisés au profit des personnes âgées atteintes du COVID-19, à domicile ou dans une maison de retraite. L’article et l’opinion soutiennent que ce serait l’approche la plus efficace pour réduire la mortalité due au COVID-19, en ciblant ceux qui sont les plus à risque, avec des thérapies totalement sûres, bon marché et faciles à administrer. À ce jour, de nombreuses juridictions, dont la France et d’autres pays européens, le Canada et de nombreux États des États-Unis, nient une telle approche thérapeutique simple pour le COVID-19. On se demande pourquoi, mais c’est le triste état des choses en ce qui concerne la réponse thérapeutique au COVID-19, qui est principalement dominée par les informations sur les nouveaux traitements au niveau hospitalier, ou le développement de vaccins, alors qu’en réalité, un traitement ambulatoire précoce, ciblant le début phase virale de la maladie, est de loin l’approche la plus efficace pour réduire la probabilité de formes graves de la maladie, d’effets à long terme et de mortalité.
Enfin, nous avons également un article sur la Belgique – le pays avec le taux de décès par habitant, dûs au COVID-19, le plus élevé au monde – où ce sont, là aussi surtout des personnes âgées qui sont mortes de la maladie. Dans trois lettres ouvertes différentes, des médecins expriment leur mécontentement face à la réponse gouvernementale à la crise. C’est une lecture intéressante, sachant que dans de nombreux pays, les médecins ont souvent fait preuve de mutisme, malgré leur désaccord avec les mesures gouvernementales.