Pandémie et Peur: Entretien avec Mark McDonald, Médecin et Psychiatre (transcription – section 2)

Dans cette section, nous approfondissons l’explication de la psychose délirante de masse dont souffrent nos sociétés. Nous parlons des passeports vaccinaux; de la passivité voire de l’obéissance de la part de la majorité silencieuse; de la dépendance des gouvernements à la délation; et aussi de ce que les parents peuvent faire pour combattre la coercition exercée sur leurs enfants et sur eux-mêmes par les autorités.

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Q : Une caractéristique de ces injections est qu’elles n’empêchent pas la propagation de la maladie, qu’elles n’empêchent pas l’infection. Malgré cette caractéristique, qui n’est évidemment pas optimale, parce que ce ne sont pas des vaccins stérilisants, vous avez toutes ces juridictions qui mettent en œuvre des mandats, des passeports. Cela peut être au niveau d’une ville, d’un état, d’une province, au niveau fédéral. Que se passe-t-il? Comment expliquez-vous ceci?

C’est une question intéressante. Je reçois beaucoup cette question parce que ceux qui vivent dans la réalité, et qui sont éveillés et je ne veux pas forcément dire des gens qui sont tout le temps d’accord avec moi mais juste des gens qui regardent autour d’eux de leurs propres yeux et croient ce qu’ils voient, plutôt que de voir ce qu’ils croient, c’est juste une distinction importante, ils ne comprennent pas non plus ce qui se passe.

J’ai plusieurs théories différentes. La première est que nous sommes en fait dans une psychose délirante de masse, ce qui signifie une déconnexion de la réalité, une incapacité à penser de manière critique. Je regarde le coucher de soleil, vous regardez le coucher de soleil, je vois un soleil, vous voyez un éléphant. L’un de nous est clairement psychotique. Beaucoup de gens dans ce pays et ailleurs sont psychotiques au sens propre du terme. Ils délirent, ils croient quelque chose qui est contraire à la réalité. 

Je pense que c’est important parce que, sans cela, je ne pense pas qu’il y ait une moindre chance pour de telles mesures gouvernementales, clairement incohérentes et qui, comme vous le soulignez à juste titre, ne peuvent pas atteindre le but qu’elles ont promis d’atteindre. Ce n’est tout simplement pas possible. 

Mais je pense qu’il se passe autre chose. J’y ai juste pensé il y a environ une semaine, quand j’ai commencé à consulter sur un cas avec un comté local ici en tant que consultant juridique médical, concernant l’abus sexuel d’une jeune fille qui, après quelques années de viol à plusieurs reprises par son père, est tombée enceinte de son enfant, a donné naissance à son enfant, puis a bien sûr été retirée de la maison une fois qu’un test de paternité a été réalisé pour découvrir que le père, son père biologique, avait été en fait le violeur.

Elle a 19 ans maintenant, quelques années de plus que l’âge légal, elle vit toujours seule, elle suit une thérapie, son père est en prison. Vous seriez choqué d’entendre que lorsque son thérapeute discute de l’abus avec elle et de ce qu’elle en pense, elle dit, et a dit ceci depuis le début, après maintenant 2 ans de traitement : 

“Je crois que mon père est un homme bon, je suis très très triste qu’il ait été arrêté et mis en prison. Je n’aimerais rien de plus que d’être réuni avec lui comme lorsque j’étais enfant.”

Ce n’est pas un père qui l’a giflée une ou deux fois au visage ou qui aurait pu la tripoter alors qu’il était ivre une nuit. C’est un homme qui l’a violée à plusieurs reprises pendant des années, ainsi que ses sœurs — elle a trois sœurs. Vous vous demandez pourquoi diable une fille ne verrait pas cet homme pour le monstre qu’il est. La réalité est qu’il est un monstre, mais à son avis, c’est un bon père, il est aimant, il se soucie, il a été injustement attaqué et critiqué alors que tout ce qu’il voulait faire était de la protéger.

Je pense que nous pouvons comprendre en tant qu’individus, en tant que parents, le concept qu’il n’y a qu’un père et une mère. Nous n’obtenons pas de remplaçant. Si vous enlevez le père d’une petite fille, elle est abandonnée, elle devient orpheline. Même si le père est un monstre, elle ne veut pas détruire l’image de ce père, l’archétype de l’union par exemple du papa, car il n’y a personne d’autre pour le remplacer. 

Elle serait plutôt la fille d’un père qui est un monstre, mais séparons le monstre, compartimentons-le, qu’une fille qui s’est émancipée du monstre mais est désormais privée de papa.

Maintenant, étendez cette idée à toute une nation d’individus qui dépendent d’un État, qui ne sont plus libres de penser, ils n’ont plus allégeance à une église ou à Dieu, leur allégeance étant au gouvernement, ce qui se passe maintenant depuis 20, 30, 40, 50 ans : la marche vers le socialisme dans tous les pays occidentaux, en particulier les pays anglophones. Ces personnes voient et subissent de réels abus. Le gouvernement abuse de ses citoyens, les empêche de travailler, les empêche d’aller à l’école, les empêche de se déplacer, les oblige à se faire vacciner, c’est de l’abus réel. Je crois que c’est de l’abus. La maltraitance des enfants est ce qui se passe actuellement avec les enfants, ceci par le gouvernement.

Si tous les citoyens reconnaissaient que leur gouvernement est en fait l’agresseur et non leur sauveur, ils devraient alors rejeter leur gouvernement, ils devraient alors trouver un gouvernement de substitution et reconstruire. C’est un très grand pas pour les citoyens de reconnaître et d’accepter que le gouvernement auquel ils sont redevables est non seulement incompétent et corrompu, mais qu’il est en fait abusif. Beaucoup de gens ne peuvent pas tolérer ce genre de dissonance cognitive, ils ne peuvent pas tolérer la perte qui en résulterait et l’obligation d’aller ensuite reconstruire quelque chose de mieux.

C’est un très grand pas pour les citoyens de reconnaître et d’accepter que le gouvernement auquel ils sont redevables est non seulement incompétent et corrompu, mais qu’il est en fait abusif.

Donc, je pense que la plupart des gens, pas tous, mais la plupart des gens, refusent tout simplement de le voir. Ils ferment simplement les yeux, ils mettent la tête dans le sable, ils disent que tout va bien, parce que l’alternative est de regarder le mal en face. Le mal n’est pas sombre, le mal est brillant, le mal est aveuglant et ils ne veulent pas le voir.

C’est pourquoi je pense que ces politiques conflictuelles absurdes et autodestructrices sont en train d’être avalées sans trop de critiques par la population. Ils hochent la tête. Une partie d’entre eux sait que cela n’a aucun sens, mais une plus grande partie d’entre eux dit chut, ne dis rien, ne le signale pas, ne mentionne pas que cela n’a pas de sens. Sinon, tout le château de cartes va tomber, et alors, où allons-nous être? Nous allons simplement nous retrouver sans rien. 

Donc, je pense, sur le plan psychologique, je pense que ça explique beaucoup et je pense que si on peut comprendre ce problème, ce problème de société, d’un point de vue psychologique aussi bien que politique et économique, je pense que ça va vraiment ouvrir les yeux des gens sur la possibilité qu’il s’agit d’un problème humain, et non seulement un problème politique ou économique.

Q : Selon le pays, la juridiction, vous avez des manifestations, vous avez des gens qui ne sont pas d’accord. Pourtant, vous avez encore une grande majorité silencieuse. Au Canada par exemple, le gouvernement a promis plus de répression et a été réélu. Comment un pays peut-il évoluer dans ce sens et comment la population peut-elle le respecter et l’accepter, y compris des mesures similaires à celles de l’apartheid telles que les passeports vaccinaux? Quand vous regardez l’histoire, en Afrique du Sud, “un homme une voix,” ce n’est pas il y a si longtemps. La Seconde Guerre mondiale et les étoiles jaunes ne datent pas non plus d’il y a longtemps. Comment comprenez-vous que les gens acceptent l’inacceptable de la part des autorités?

Je pense qu’il y a deux raisons. L’une est plus évidente que l’autre. Toutes deux reposent, je pense, sur l’analyse des qualités intrinsèques de l’être humain, que nous ignorons à nos risques et périls. La philosophie centrale de la gauche, du moins le vernis de sa philosophie – sa philosophie sous-jacente est le chaos et la destruction – mais le vernis de la gauche à travers l’histoire a été: les gens naissent intrinsèquement bons et c’est leur environnement qui les corrompt.  Je crois que c’est contraire à la réalité, je pense que les gens naissent avec un potentiel, et c’est en contrôlant leurs pulsions destructrices et maléfiques qu’ils s’élèvent au-dessus de leurs qualités humaines fondamentales primitives et deviennent quelque chose de plus proche d’un être bienveillant. 

Au fond, l’être humain, pour des raisons purement psychologiques et biologiques, n’a pas soif de liberté, il a soif de dépendance, il a soif d’être pris en charge et cela se produit dès sa naissance. Un bébé ne sort pas du ventre de sa mère et se met à danser et à dire que “je veux m’enfuir et fonder mon propre foyer.” Même si le bébé pouvait le faire, le bébé ne le voudrait pas parce que ce qu’il veut et ce dont il a vraiment besoin à ce moment-là, c’est d’être protégé, d’être maintenu au chaud, d’être nourri, d’être lavé. Et au fil du temps, à mesure que le bébé développe de l’intérêt, de la curiosité, des capacités, de la force et du courage, le bébé commencera à rejeter cette prise en charge et peut-être que la mère l’encouragera en retirant une partie de la prise en charge petit à petit pour encourager un peu de souffrance, que le bébé puisse tolérer et enfin surmonter, pour ainsi évoluer vers l’indépendance.

C’est ainsi que les êtres humains se développent, c’est juste de la psychologie de base, de la biologie de base. Quand cela est empêché, quand vous avez un gouvernement qui arrive et dit « suspendons la liberté » pendant un petit moment parce que nous sommes en crise et qu’en suspendant votre liberté, nous allons vous donner quelque chose qui va vous faire sentir comme étant vraiment pris en charge, en vous donnant des chèques par la poste parce que vous ne pouvez pas travailler, on va donner des cours via vidéo-conférence zoom à la place de l’école parce que vous ne pouvez pas aller à l’école, on va vous donner toutes sortes d’injections qui vont vous protéger et vous garder à l’abri de ce terrible virus effrayant qui s’infiltre par les rebords de la fenêtre et descend par la cheminée comme un mauvais Père Noël, nous allons vous en protéger. 

La nature de bébé des gens s’exprime alors. Ils disent oh merci maman, merci papa c’est exactement ce que je voulais. Je ne voulais pas avoir à aller travailler et aller à l’école et rester en bonne santé et perdre du poids et arrêter de fumer. Cela nécessite du travail, cela exige que je souffre afin d’acquérir cette force, cette indépendance et cette croissance. Non, je vais abandonner tout ça, je vais juste m’asseoir et grossir et manger des chips et arrêter de travailler ou d’aller à l’école. Je vais prendre mes médicaments parce qu’on m’a dit que c’était une bonne chose à faire. Je suis un bon garçon, une bonne fille, pour faire ça. Cela fait partie de l’esprit de bébé qui s’exprime et est encouragé par le gouvernement. Je pense que c’est un aspect très important qu’il faut garder à l’esprit. 

La seconde raison, que j’ai comprise plus récemment, est beaucoup plus sombre. Je pense aussi qu’elle est intrinsèque aux gens, mais est souvent tenue en échec par des normes sociales qui ne sont plus présentes. C’est l’encouragement au sadisme. Je vois tellement de plaisir chez les individus à causer, à témoigner et à vivre la souffrance des autres. Je n’ai jamais vu cela auparavant. C’est le voisin, l’ami, l’étudiant, l’enseignant, le bureaucrate du gouvernement ou encore le serf soumis. Ces personnes qui dénigrent leur voisin ou rapportent aux autorités des entreprises qui sont restées ouvertes. Ce sont ces personnes qui réclament que ces parents, qui protestent contre l’enseignement de l’idéologie transgenre et raciste dans leurs écoles, soient arrêtés et mis en prison comme des terroristes.

Ces gens ne le font pas simplement parce qu’ils sont malavisés, parce qu’ils pensent qu’ils font du bien. En réalité ce n’est pas le cas. Beaucoup de ces gens l’apprécient réellement, tout comme pendant la Seconde Guerre mondiale, vous aviez ces gardes qui aimaient battre les gens dans les camps de concentration, les regarder souffrir, tout comme vous le voyiez en Chine, pendant la Révolution, où vous voyiez des citoyens être rebaptisés comme ambassadeurs du parti et qu’on leur a donné des bâtons et on les a encouragés à sortir et à tabasser leurs voisins, à tabasser le patron pour lequel ils travaillaient parce qu’ils étaient considérés comme des anti-révolutionnaires. 

Ces gens ne l’ont pas fait à contrecœur, ils l’ont fait avec plaisir. Ils l’ont adoré, car lorsqu’un être humain est non seulement autorisé, mais encouragé et récompensé, d’éliminer ce besoin intrinsèque de nuire à d’autres personnes, et qu’il est présent dans chaque être humain dans une certaine mesure, de nombreuses personnes n’ont pas les moyens de repousser et dire que je ne ferai pas ça, je n’irai pas contre les gens que je respecte, je ne leur ferai pas de mal. 

Beaucoup d’entre nous ont eu cette expérience. Vous entrez dans un magasin ou un ascenseur ou vous marchez dans la rue, vous ne portez pas de masque et quelqu’un s’approche de vous, et ne dit pas “oh, vous savez, j’ai vraiment peur, j’aimerais vraiment que vous portiez votre masque.” Il s’approche de vous, vous réprimande, vous crie dessus, sifflera ou hélera un membre du personnel dans le magasin plutôt que de se détourner, plutôt que de simplement marcher dans l’autre sens.

Si vous ne vouliez pas être avec quelqu’un sans masque parce que vous aviez peur, partez, mais ce n’est pas ce que les gens font. En fait, ils font tout leur possible pour voir ces personnes agressées, battues physiquement, jetées hors du magasin, mises à l’amende, arrêtées, se faire enlever leurs enfants. Cela ne peut pas s’expliquer par un malentendu, par juste la peur. C’est du sadisme.

Lorsque vous combinez ces deux éléments, la tendance à la dépendance et l’encouragement du sadisme, c’est ce que vous obtenez. C’est la maladie et le mal qui se déchaînent, comme lorsqu’on laisse le dragon sortir de la grotte. On va ainsi vers les ténèbres, vers une destruction horrifique.

Lorsque vous combinez ces deux éléments, la tendance à la dépendance et l’encouragement du sadisme, c’est ce que vous obtenez. C’est la maladie et le mal qui se déchaînent, comme lorsqu’on laisse le dragon sortir de la grotte. On va ainsi vers les ténèbres, vers une destruction horrifique. Nous l’avons vu au 20ème siècle dans tous les régimes dictatoriaux, de Pol Pot à Hitler en passant par Mao, Staline, Chavez, Castro et d’autres. Ces gens sont des individus maléfiques, déments, sombres et ils encouragent cela chez les gens qui sont au-dessous d’eux, quand ils suppriment les libertés et encouragent le sadisme.

Q : Il existe une agence américaine chargée de la santé au travail et je pense qu’elle encourage désormais la dénonciation des sociétés, des entreprises et même des petites entreprises, qui ne mettent pas en œuvre les mandats. Cela correspond-il à l’analyse que vous faites de cette tendance vers une sorte de division de la société?

C’est un exemple parfait, l’OSHA -Occupational Safety and Health Administration – a officiellement annoncé par l’intermédiaire de l’administration Biden, des mesures qui encourageront les employés et les entreprises à dénoncer les entreprises qui ne sont pas en conformité avec les mandats pour forcer les injections à tous leurs employés.

C’est un exemple parfait, l’OSHA -Occupational Safety and Health Administration – a officiellement annoncé par l’intermédiaire de l’administration Biden, des mesures qui encourageront les employés et les entreprises à dénoncer les entreprises qui ne sont pas en conformité avec les mandats pour forcer les injections à tous leurs employés.

Cela vient du plus haut niveau, du bureau exécutif du gouvernement fédéral. C’est un exemple parfait. Il y a à peine deux jours, j’ai vu un mème sortir sur Twitter concernant la ville de Santa Monica. Il dit que les restaurants qui n’appliquent pas les mandats de vérification des cartes vaccinales à la porte doivent être rapportés aux autorités. Si vous voyez cela se produire, nous avons maintenant un numéro que vous pouvez appeler en tant que bon citoyen et les signaler. Appelez le 311 et signalez l’affaire, faites votre devoir, faites votre devoir civique en tant que bon citoyen afin que nous puissions tous être protégés, afin que nous puissions tous être libres, au sens inverse de libres, de cette horrible contagion.

Ainsi, au niveau de la ville, vous voyez le gouvernement municipal encourager les citoyens à détruire les entreprises qui font le choix de ne pas se conformer aux mandats et au niveau fédéral, vous voyez des agences fédérales telles que l’OSHA encourager les citoyens à détruire les entreprises qui ne se conforment pas aux mandats internes en matière de vaccins. Ces types de techniques sont tout droit sortis des manuels des gouvernements dictateurs du 20e siècle. Tout le monde les utilisait. La raison en est qu’il n’est pas possible pour un gouvernement de contrôler une population sans la complicité, sans le soutien des citoyens. Il n’y a pas de police, il n’y a pas d’armée assez nombreuse pour contrôler toute une population. La population doit se contrôler.

À Los Angeles, nous l’avons vu dès le début, lorsque le maire Eric Garcetti a annoncé un programme de dénonciation, lors du premier confinement. Il a encouragé des soi-disant « ambassadeurs » à faire le tour de la ville à la recherche d’entreprises encore ouvertes et lorsqu’elles étaient encore ouvertes, au mépris de l’ordre de fermeture, il leur a demandé d’appeler la ville à une ligne directe, afin qu’on leur ferme l’électricité, l’eau et le gaz, de sorte que ces entreprises soient obligées de fermer. Et si cela ne fonctionnait pas, ils ont mis une clôture autour de l’entreprise afin qu’ils ne puissent pas entrer physiquement dans les locaux. 

C’était au cours du premier ou du deuxième mois du confinement ici à Los Angeles. C’est toujours en cours et ça continue d’être réinventé, au niveau de la ville, du comté, de l’état, et maintenant avons des mandats OSHA et des programmes OSHA de dénonciation, au niveau fédéral. Ceux-ci sont importants pour le gouvernement parce que sans eux, ils n’ont vraiment pas le pouvoir de contrôler cela. Le peuple se soulèverait, le peuple se séparerait, pour et contre. 

Imaginez que vous ayez  un restaurant à Santa Monica et que vous soyez plein tous les soirs. Nombre de restaurants enfreignent les mesures, car les gens veulent aller manger sans avoir à montrer de cartes de vaccination. Deux, trois, quatre cents personnes peuvent passer par ces restaurants. Pas de problème, personne ne tombe malade, tout le monde va bien. Ensuite, une personne se présente et dit : « vous ne vérifiez pas les cartes de vaccination ? » et le propriétaire dit non. La personne appelle le 311 le lendemain et le restaurant écope d’une amende de 1 000 $. Le lendemain, c’est 3 000, puis 4 000, puis 5 000, puis l’électricité, le gaz, l’eau sont fermés. Il suffit d’une personne dans ce genre de programme pour outrepasser la volonté de milliers de personnes. Une seule personne! C’est pourquoi c’est si effrayant.

Q : Au niveau familial, une discussion clé dans les semaines et les mois à venir portera sur les enfants à vacciner ou non. Nous savons qu’il y a un problème de sécurité. Vous avez tous ces médecins de première ligne, que vous connaissez très bien parce que vous faites partie de ce groupe, qui disent en gros qu’il n’y a absolument aucune raison d’avoir ces injections chez les enfants, que c’est en fait beaucoup plus dangereux pour eux que n’importe quel type d’avantages qui pourraient être dérivé. Comment les familles peuvent-elles faire face à cette situation? Par exemple, si vous avez deux parents qui ne sont pas d’accord ou si vous avez un enfant qui dit « Je ne veux pas avoir ces injections » mais qui n’est pas en situation de prise de décision. Ou si vous avez un enfant qui dit : « Oh oui je veux jouer au foot, je veux être avec mes amis » et que les parents s’y opposent. C’est un drame qui se crée au niveau de chaque famille, n’est-ce pas?

Oui. On a monté les membres des familles les un contre les autres depuis le début, ce qui faisait partie de toute l’approche de la prise en charge de la citoyenneté. C’est “diviser pour conquérir” et cela s’est vu tout au long du 20e siècle dans les régimes totalitaires. Vous chargez d’abord les enfants d’informer contre les parents, contre les enseignants, ceux qui ont autorité, qui ont autorité au niveau local, qui ont autorité sur les enfants : les parents; puis qui ont autorité sur la communauté : prêtres, rabbins, enseignants. C’est ceux qui guident, qui mènent, ceux qui les gens admirent et respectent, qui ne sont pas politiques, qui ne sont pas militaires. Ce sont eux les premières personnes qu’il faut viser.

Une fois que vous les avez retirés, maintenant toute la population est sans gouvernail, ils flottent simplement sans aucune direction, sans aucun guide. Lorsque vous n’avez plus de gouvernail, il y a un vide et vers qui regardez-vous ? Vous regardez vers le gouvernement. Le but de ces programmes, de ces mandats de vaccination, est donc de créer une division. 

Le dessin animé “Sesame Street” avec lequel vous avez commencé en est un bon exemple. Quand les enfants croient que c’est amusant, bon et juste de se faire injecter, quand Big Bird vous dit, quand Bert et Ernie vous disent que vous êtes alors de bons enfants, quand vous voyez un dessin animé qui dit que les enfants sautent partout avec des capes et disent ”je suis un super-héros depuis que j’ai eu mon injection” – ceci est sorti la semaine dernière dans le comté de Los Angeles – “je suis un super-héros, nous devrions tous être des super-héros.” Et puis ils entendent que leur entraînement de football ne leur permet pas de se passer du vaccin et si ils sont au lycée ou à l’université, ils ne peuvent pas faire partie de l’équipe sportive sans vaccination, et s’ils sont au collège, que leurs amis organisent des fêtes d’anniversaire chez un enfant et que la mère dit qu’elle n’autorise pas les enfants qui n’ont pas de vaccins. Ensuite, tous leurs amis se promènent avec des autocollants, des billets de cent dollars, des cornets de crème glacée et des beignets et disent : “Je viens de recevoir mon vaccin; et toi, tu n’en veux pas?” “Qu’est-ce qui ne va pas?” “Pourquoi es-tu si bizarre?”  Aucun enfant ne peut rivaliser avec ce genre de pression, aucun enfant ne peut rivaliser. Ce n’est pas possible. Il n’y a pas de fin. C’est implacable et cela les écrasera.  

Ensuite, tous leurs amis se promènent avec des autocollants, des billets de cent dollars, des cornets de crème glacée et des beignets et disent : “Je viens de recevoir mon vaccin; et toi, tu n’en veux pas?” “Qu’est-ce qui ne va pas?” “Pourquoi es-tu si bizarre?”  Aucun enfant ne peut rivaliser avec ce genre de pression, aucun enfant ne peut rivaliser. Ce n’est pas possible. Il n’y a pas de fin. C’est implacable et cela les écrasera.  

En même temps, les parents sont agressés parce que, comme vous l’avez dit, un parent peut se retourner contre l’autre et avoir des points de vue différents, peut-être qu’un des parents veut voyager, peut-être qu’ils sont divorcés et que les enfants doivent eux aussi se déplacer, aller dans un autre pays, et ne peuvent pas laisser les enfants le faire sans vaccin. Alors maintenant, que faites-vous ? Vous allez au tribunal et vous dites : “J’ai le droit d’empêcher mon enfant de voyager parce que je ne veux pas qu’il soit vacciné.” Maintenant, vous avez un droit opposé à un autre, le droit d’être avec un parent dans un autre État ou pays par rapport à votre droit, en tant que parents opposés, de ne pas se faire injecter. Quel droit l’emporte et c’est un genre de bataille horrible, absolument horrible, même si les deux parents ne veulent pas que l’enfant se fasse vacciner, l’un des parents doit renoncer à la garde. 

Ce sont des problèmes insolubles mais ils sont intentionnels, ce problème est intentionnellement poussé dans la famille pour créer la discorde, le désaccord, la pression, la coercition, la fracture, de sorte qu’une fois que la structure familiale se brise sous tout ce stress, le gouvernement vient et fonce et dit : “Je vais arranger ça, je vais rendre toutes ces libertés qui ont été enlevées, je vais redonner le droit de voyager, le droit d’aller à l’école, d’être avec ses amis …” 

Autrement dit le geôlier, celui qui vous a enfermé dans la cellule, vient maintenant avec une clé, un mois, deux mois, trois mois plus tard. Vous ne le reconnaissez même plus, vous ne vous souvenez plus que c’est l’homme qui vous a enfermé dans la cellule. Tout ce que vous voyez c’est qu’il a une clé et il dit : “’jai la clé et je vais déverrouiller la cellule.” Alors vous sursautez de joie, l’embrassez, le remerciez, lui embrassez les pieds d’avoir été une âme si gentille pour vous laisser sortir de cette cellule, oubliant le fait que c’est lui qui vous y a enfermé en premier lieu, même quand vous n’avez rien fait de mal. C’est très pervers, c’est très malade mais c’est très efficace et j’ai énormément d’empahtie envers les parents qui ne savent pas quoi faire.

Ce que je dis toujours aux parents, c’est ceci : il y a des pertes et des coûts à court terme que vous pourriez être obligé de choisir pour assurer la sécurité de vos enfants. C’est peut-être une perte d’amis, d’amis de vos enfants, peut-être la perte de l’école et de l’éducation pendant une courte période jusqu’à ce que vous puissiez faire l’enseignement à la maison ou à distance. Peut-être que vous pourriez être obligé de déménager dans un autre lieu géographique. Au moins aux États-Unis, nous avons toujours la liberté de mouvement et nous avons 50 États. Ce n’est pas vrai dans tous les autres pays occidentaux. Si vous étiez prêt à prendre un risque maintenant et à abandonner quelque chose de petit qui peut être récupéré au fil du temps, temporairement, vous éviterez la possibilité de modifier de manière irrévocable et permanente la vie de votre enfant, pour toujours, d’une manière qui ne peut être renversée. 

Le pire exemple est bien sûr la perte de votre enfant, la mort de votre enfant. Mais dans d’autres domaines, peut-être des lésions cardiaques permanentes, peut-être une perte de fertilité, des troubles neurologiques. Il y a toutes sortes de problèmes avec ces vaccins qui peuvent même ne pas apparaître avant des années. Comment vous sentiriez-vous, si pour garder votre vie plus confortable, pour que vos amis aillent à des anniversaires, pour rester dans la même école publique, vous blessiez votre enfant, vous empêchiez votre enfant d’avoir une famille biologique ? Vous pardonneriez-vous jamais pour cela ? La plupart des parents ne le feraient pas. 

Le pire exemple est bien sûr la perte de votre enfant, la mort de votre enfant. Mais dans d’autres domaines, peut-être des lésions cardiaques permanentes, peut-être une perte de fertilité, des troubles neurologiques. Il y a toutes sortes de problèmes avec ces vaccins qui peuvent même ne pas apparaître avant des années.

Alors, ce que je dis aux parents, c’est: ne pensez pas à aujourd’hui, demain, la semaine prochaine, pensez au long terme, pensez à ce qui est important dans l’ensemble, à quel est votre objectif, à quelle est votre responsabilité en tant que parent ? Votre premier objectif principal est de protéger votre enfant, pas de la grippe de Wuhan, car cela n’a aucune importance. Vous voulez protéger votre enfant contre les interventions médicales inutiles qui nuisent à votre enfant, telles que ces injections. Une fois que vous partez de cette position, je pense, tout le reste devient logique. Cela cesse d’être déroutant, cela cesse d’être un débat. Vous vous dites : je vais protéger mon enfant coûte que coûte. Après cela, toutes les options, tous les moyens disponibles pour éviter cette débâcle sont sur la table et les parents peuvent alors s’aligner là-dessus.

Si les deux parents ne partagent pas cet accord, si les deux parents ne croient pas que c’est leur responsabilité première, que Dieu les aide, je ne sais pas ce que vous faites, prenez votre enfant et fuyez. C’est une situation presque impossible et malheureusement, comme je l’ai dit, elle a été entièrement générée par le gouvernement. C’est un problème externe, ce n’est pas un problème interne.

Q : Dans de nombreuses juridictions, les enfants, disons à partir de 14 ans, parfois avant, ont le droit de se faire injecter sans le consentement de leurs parents. Je sais, par exemple, qu’au Québec, on demande simplement aux enfants, au sujet du consentement éclairé, s’ils veulent se faire vacciner. Si le gamin répond oui, l’injection est immédiatement administrée. Comment traitez-vous les adolescents qui ont des droits de décision?

Eh bien, il est peut-être trop tard à ce stade, car cela dépendra de ce que vous avez fait et de la façon dont vous les avez élevés jusqu’à présent. Si vous avez été un parent absent et que vous avez dit “les enfants devraient prendre leurs propres décisions”, je suis juste ici pour être un copain, vous voulez fumer du pot, je fumerai du pot avec vous, je pense que c’est une cause perdue parce que vous avez fondamentalement renoncé à votre responsabilité parentale depuis longtemps. Votre enfant va juste aller le faire. Désolé, nous ne pouvons rien faire pour vous. Mais si vous avez élevé votre enfant pour pour vous respecter et pour remettre en question et défier les pressions externes qui entrent en conflit avec l’attention des parents et les opinions des parents, si l’enfant s’accroche toujours à vos valeurs, alors vous pouvez encore avoir une certaine influence sur votre enfant, même si légalement, vous n’en avez peut-être plus.

Vous devez donc vous asseoir avec votre enfant et lui dire, écoute, c’est une conversation très importante que nous allons avoir. Je sais que je ne peux pas t’empêcher de recevoir cette injection. … mais laisse-moi te dire, en tant que parent, en tant que personne qui t’a protégé toute ma vie, que tu dois me faire confiance et attendre. Tu dois attendre. Ne fais pas cela maintenant.

Vous devez donc vous asseoir avec votre enfant et lui dire, écoute, c’est une conversation très importante que nous allons avoir. Je sais que je ne peux pas t’empêcher de recevoir cette injection. Je sais que tes amis mettent la pression. Je sais que tu pourrais être un peu confus quant à savoir si tu en as besoin ou non, mais laisse-moi te dire, en tant que parent, en tant que personne qui t’a protégé toute ma vie, que tu dois me faire confiance et attendre. Tu dois attendre. Ne fais pas cela maintenant. Si dans 2, 3, 4 ans, tu as 18 ans, tu as toujours l’impression que c’est important pour toi, je respecterai tes souhaits mais ce n’est pas le moment de le faire maintenant. Nous ne savons pas comment cela va t’affecter. Je veux m’assurer que tu sois  physiquement à l’abri de tout danger aussi longtemps que possible, aussi longtemps que je vis et que je respire. Je ne peux plus le faire si tu te fais administre cette injection. J’espère que tu comprends. J’espère que tu respecteras ma demande même si tu ne la comprends pas complètement. Tu n’es peut-être pas d’accord avec le comment, mais respecte s’il-te-plait cette décision que je te demande d’honorer, du moins pour le moment. Attends plus tard. Reporte cette décision. Si vous ne le fais pas, quelque chose d’horrible pourrait t’arriver et cela me ferait vraiment très mal et je ne serai jamais capable de me pardonner d’avoir permis que cela se produise. 

Je pense que c’est une chose très très importante à dire aux enfants. Maintenant, ils peuvent finir par le faire de toute façon. Mais au moins, vous saurez que vous aurez fait ce que vous pouviez. Ce que vous avez fait jusqu’à présent en tant que parent déterminera à quel point votre enfant honorera et respectera ce conseil. 

Sections supplémentaires à paraître prochainement.

Voir ci-dessous la section 1 précédemment publiée.