Pourquoi le black-out contre les traitements précoces? Le cas de l’ivermectine

Ceci est l’analyse mise-à-jour du Dr Alain Maskens à propos de l’ivermectine et de son rejet par les autorités sanitaires de nombreux pays, en majorité occidentaux, malgré les preuves évidentes de son efficacité pour le traitement du COVID-19.

Voir l’analyse complète en pièce jointe.

Introduction

La réponse à une épidémie ou pandémie repose sur quatre approches complémentaires :

  • diminution de la circulation du virus (gestes barrières, testing, tracing, éventuellement confinement plus ou moins important) ;
  • vaccination ;
  • traitement des patients dès l’apparition des premiers symptômes ;
  • hospitalisation des cas graves qui ont échappé aux mesures ci-dessus.

Des traitements précoces ont été mis en œuvre par plusieurs équipes de cliniciens dès que la recherche a permis d’identifier des molécules potentiellement actives contre le COVID-19, au printemps 2020. Plusieurs protocoles thérapeutiques précis ont été publiés. Ils font appel à des médicaments existants et bien connus dans d’autres indications (« repurposed drugs»), proposés en association, et adaptés selon l’évolution du patient. De tels traitements permettent d’éviter de nombreuses hospitalisations et décès chez les personnes à risque, notamment chez les sujets âgés.

Pourtant, dans plusieurs pays occidentaux, les traitements précoces du COVID-19 au moyen de médicaments existants ne sont toujours pas recommandés par les autorités médicales (juillet 2021). On préfère laisser les patients chez eux avec un traitement symptomatique à base de paracétamol, au risque de devoir les hospitaliser si le cas s’aggrave. Il est alors souvent trop tard pour éviter les complications, qui peuvent amener au décès. Cette approche a contribué à mettre la pression sur les hôpitaux, principale raison des mesures de confinement.

Pourquoi ce black-out officiel contre les traitements précoces ? J’ai tenté de le comprendre en étudiant en profondeur le cas de l’ivermectine, un des médicaments les mieux documentés et les plus efficaces contre le COVID-19.

Table des Matières (trouvez le contenu dans la pièce jointe)

1. L’ivermectine est efficace  pour prévenir et traiter le COVID-19 4

2. La doxa : «Pour le COVID-19, on n’a pas de traitement autre que symptomatique dans la première semaine » 7

3. L’absence d’intérêt des autorités et des acteurs belges pour les traitements précoces 8

4. L’influence de Big Pharma 10

5. Les protecteurs de la doxa et la censure 15

6. Les arguments des anti-ivermectine 20

7. En Belgique, un problème systémique : personne n’est en charge 24

8.  Bien poser la question : dans quel sens penche la balance ? 25

9.  Recommandations : en Belgique, promouvoir l’ivermectine et créer une task force sur les traitements précoces. 26

Conclusion/Recommandations (pour la Belgique, mais c’est applicable ailleurs)

Voici dès lors, et en guise de conclusion, trois recommandations :

1) Pour l’immédiat, il est hautement souhaitable de s’assurer en urgence de la disponibilité de l’ivermectine en présentation orale dans les pharmacies en Belgique. Et il est hautement souhaitable que les médecins généralistes soient informés sans tarder de cette option thérapeutique et des divers protocoles qui permettent son utilisation optimale.

S’il se confirme qu’effectivement l’ivermectine est active contre le COVID-19, nous aurons sauvé des vies, diminué le risque de reprise de l’épidémie, et permis une réouverture plus rapide de nos activités économiques, culturelles, pédagogiques et économiques. Et si les résultats favorables des 60 études connues à ce jour (dont 30 essais cliniques contrôlés randomisés) s’avèrent en définitive erronés ou liés au seul hasard et non à l’activité du traitement, nous n’aurons rien perdu, sauf un petit investissement dans le coût – modique – de celui-ci.

2) Il serait opportun qu’une task force spécifique soit dédiée au suivi en continu des données nouvelles relatives à la prévention et au traitement des stades précoces  du COVID-19, qu’il s’agisse de l’ivermectine ou de toute autre médication. Elle devrait disposer des moyens d’analyser et vérifier en profondeur les données à mesure qu’elles deviennent disponibles. Une telle task force pourrait utilement faire partie de l’arsenal de base dans toute épidémie, à côté des experts en épidémiologie et en virologie. Elle devrait informer en permanence les autorités, afin que celles-ci puissent prendre rapidement les décisions adéquates.

3) Mes propositions risquent de se heurter à de l’indifférence et / ou de la résistance. J’invite donc la presse à enquêter plus à fond sur cette question, afin d’être en mesure d’informer l’opinion et les autorités mieux que je n’ai pu le faire jusqu’ici.