L’efficacité négative du vaccin est arrivée!
Plus tôt cette année, au cours de cette interview avec le Dr Peter McCullough et l’expert en vaccins Geert Vanden Bossche, ce dernier nous a mis en garde contre la résistance imminente aux vaccins. Il avait raison. Cela s’est produit assez rapidement et est devenu clair avec l’émergence du variant delta. (ENGLISH VERSION)
Ce qui n’était pas encore vraiment clair, c’est que cela pourrait aller plus loin et évoluer vers une efficacité vaccinale négative.
En guise de clarification, si ce n’est pas clair … une efficacité vaccinale négative veut dire que le vaccin fait le contraire de ce qu’il est censé faire. Ce n’est pas une faible efficacité, ce n’est pas une absence d’efficacité, c’est une efficacité négative. On est plus a risque d’attraper l’Omicron avec que sans ces injections. Et évidemment, promouvoir ou mandater des injections qui ont une efficacité négative n’a aucune sens. (même si c’est exactement ce que font présentement la plupart des gouvernements!)
Update – 23 Décembre 2011. Un nouveau pre-print par Holm Hansen analysant les données danoises confirme l’efficacité vaccinale négative pour l’Omicron, avec un coefficient VE de moins 76.5% pour le Pfizer et de moins 39.3% pour le Moderna.

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.20.21267966v2.full.pdf
Les auteurs recommandent toutefois des doses de rappel, même si l’augmentation de protection est faible et de courte durée, que les doses de rappel comportent des risques, et que le variant Omicron induit une maladie essentiellement bénigne – voir l’entrevue du Dr. Chetty qui questionne la pertinence des doses de rappel pour lutter contre l’Omicron.
Il est trop tôt pour le dire avec certitude, mais il existe deux rapports très récents, écrits de manière indépendante, l’un reposant sur des données britanniques, l’autre sur des données danoises, qui indiquent cela.
Le dernier rapport de Neil Ferguson et al. de l’Imperial College de Londres indique une efficacité vaccinale négative avec Omicron, à la fois pour l’Astra Zeneca et le Pfizer.
En conséquence, ceux qui sont complètement injectés ont un risque plus élevé d’infection que ceux qui ne sont pas injectés !
Le rapport suggère que cela peut être corrigé par un rappel/booster, mais le rappel ne fournira qu’une protection d’environ 50 %, ce qui n’est certainement pas assez bon pour un vaccin. Du moins, ce n’est pas ce que les gens attendent d’une injection vraiment protectrice et censée sauver des vies.
Une analyse cohérente, mais plus alarmante , repose sur les données du Danemark – un autre pays fortement vacciné. L’analyse a révélé une efficacité vaccinale étonnante de moins 154 % pour l’omicron parmi les personnes complètement vaccinées . Ceci est réduit à moins 26% pour ceux qui ont reçu un rappel.

Oui, selon cette analyse, les non vaccinés (0 % d’efficacité du vaccin) s’en sortent mieux que ceux complètement vaccinés ou même ceux ayant reçu un rappel. L’auteur suggère que le “Péché antigénique originel” pourrait être en cause.
Malgré tout ce que vous pouvez entendre dans les médias, Omicron pourrait signaler un nouveau tournant, le début d’une pandémie de vaccinés !
Et l’ascension de l’Omicron est bien réelle. Regardez les dernières données pour les États-Unis, où il est déjà dominant, ceci en juste 3 semaines !

Il y a une mise en garde à faire ici. Des informations en provenance d’Afrique du Sud, où le variant circule depuis environ un mois, indiquent que l’Omicron ne provoque qu’une maladie bénigne, surtout bien sûr s’elle est traitée tôt.
Si une maladie aussi bénigne continue d’être observée avec l’Omicron, la pression par les autorités pour les injections de rappel doit être encore plus remise en question.
En effet, pourquoi les gens devraient-ils chercher à se faire injecter pour obtenir une protection de 50 % contre une maladie généralement bénigne, qui peut être de tout manière traitée ?
Restez à l’écoute. Cette absurdité dangereuse semble ne jamais finir.
L’efficacité négative du vaccin est discutée ici, dans le contexte britannique. (en anglais)