France & Injections: Mensonge au Sommet de l’État?

Quand vous visitez le profil Twitter du président de la république française, vous ne pourrez pas manquer le slogan “Tous Vaccinés, Tous Protégés” qui enjoint les citoyens à prendre rendez-vous pour se faire injecter.

Mais ce slogan n’est-il pas un mensonge?

Aujourd’hui surtout, à l’heure du variant Omicron, des taux de protection inférieurs à 50% sont mentionnés pour les injections conventionnelles (exemple: 2 doses de Prizer). La population est invitée à prendre un booster, un rappel. Mais même là, il y a beaucoup d’incertitude sur l’efficacité. 

Selon cet articles du Financial Times, qui résume deux articles récents sur l’efficacité vaccinale face au variant Omicron, on passerait d’une protection comprise entre 0 et 60% après deux doses et 25 semaines ou plus, à une protection comprise entre 55% et 80% après un booster / rappel. (gain de protection qui sera lui aussi probablement éphémère)

https://www.ft.com/content/8a6a0ec8-fd07-49cd-a3f5-386a06269a5c

On est donc dans tous les cas pas tous protégés. Même si tout le monde prenait l’injection, personne ne serait protégé à 100%. Donc les citoyens ne seraient pas “tous protégés” comme le slogan le prétend.

Dans tous les cas, la protection est moindre avec l’Omicron qu’avec le Delta, et la protection avec le Delta était déjà bien moindre qu’avec la forme original du virus du Wuhan.

On constate donc que le Président de la République induit en erreur la population, en lui faisant croire à une réelle protection par ces injections, alors que la protection est en réalité très limitée. 

Avec ce slogan, pas un mot concernant les risques des injections. A cet égard, vous êtes invités à lire notre article récent, jetant la lumière sur un rapport de pharmacovigilance, dévastateur, récemment rendu public suite à une requête d’accès à l’information aux Etats-Unis.

Ce que fait le président français, c’est de pousser les citoyens à se faire injecter, sans mention ni de la faible efficacité, ni des risques bien réels, associés à ces injections, ceci qui constitue un non respect du principe élémentaire du consentement éclairé.

Qui plus est, le Président ne propose pas d’alternative à ces injections, alors que la médecine de ville, en France, connaît très bien les traitements précoces du COVID-19, bien moins risqués, et fournissant une protection bien plus grande contre les formes graves de la maladie. Voir sur ce point l’entrevue avec le Dr. Éric Ménat.

Mais évidemment, officiellement, la position de la France, comme celle de nombreux pays soi-disant “développés,” est de nier l’existence même des traitements pré-hospitaliers à base de médicaments génériques tels que l’aspirine, la colchicine, l’ivermectine et même … l’hydroxychloroquine.

La France n’offre à ses citoyens que des injections qui sont loin d’être véritablement sécuritaires et efficaces, et des traitements hospitaliers tardifs, où la mortalité est toujours trop élevée et les coûts considérables.

Et le comble, malgré cette incompétence, et ses conséquences dévastatrices, il est probable que ce président se fasse réélire.